Le point le plus important à visiter est le sommet de la Punta Negra (Pointe Noire), d’où l’on peut découvrir un magnifique paysage de steppes situé dans le Parc Naturel des Bardenas Reales. Pour y accéder, il y a deux possibilités : soit en voiture en partant de la Loma Negra où se trouve le Sanctuaire de Sancho Abarca, soit à pied/VTT par la route qui relie Valareña à Tudela.
Sanctuaire de Sancho Abarca : on part du hameau de Sancho Abarca, à côté de Tauste. La route peut se faire en bus. Pendant le trajet de montée, on peut voir comment les pins d’Alep (pinus halepensis) ont colonisé tout le versant, avec également des arbustes comme des chênes des garrigues, des genévriers communs, des genévriers sabines et du romarin principalement, sauf sur les parois verticales où l’on peut observer les différents horizons. Au sommet, il y a un ermitage, une auberge, une zone de pique-nique et un grand belvédère qui domine toute la région, y compris le majestueux relief du Moncayo. Du Sanctuaire, en passant par la crête du relief, on peut circuler en voiture jusqu’à la route NA-125, entre Valareña et Tudela. À mi-chemin, on faire une petite promenade jusqu’à Punta La Negra (Point géodésique 650 m).
De Valareña : on prend la route NA-125 en direction de Tudela. Après avoir traversé le canal d’irrigation des Cinco Villas, on prend le premier chemin de terre à gauche. Le parcours nous fera traverser les paysages suivants : Planos de Goya, refuge de Goya, refuge de Florian, Val de Pinos et Casa Forestal. De là, une pente légère nous conduira au panneau de signalisation du sentier de La Negra. On laisse alors la voiture et on prend le sentier. Le sentier circulaire est composé de 15 arrêts balisés et fait 6,5 km.
La Bardena aragonaise se trouve dans la partie la plus méridionale de la Région des Cinco Villas, entre les communes de Tauste et d’Ejea de los Caballeros, province de Saragosse.
La partie de la Bardena aragonaise est connue sous le nom de « Bardena Negra » (Bardena Noire) en raison de sa végétation, plus particulièrement le pin d’Alep, qui donne une apparence sombre au paysage.
ESPÈCES IMPORTANTES D'AVIFAUNES
ESPÈCES DE FLORE LES PLUS IMPORTANTES
Les zones boisées sont dominées par le Pin d’Alep mais on trouve également dans les sous-bois des Juniperus phoenicea, Rosmarinus officinalis, Quercus coccifera, ainsi que des zones de pâturage avec une forte présence de Brachypodium ramosum.
Dans les steppes et les zones salines on trouve notamment : Lygeum spartium, Gypsophila struthium hispánica, Ononis tridentata, Microcnemum coralloides, Limonium ruizii, Senecio auricula, Thymus loscosii, etc.
En plus des brachypodes, des chênes verts et des pins, parmi les orchidées qu’il y a au bord des chemins et sur les talus, on peut observer : Ophrys lupercalis, Ophrys lutea, Ophrys scolopax, Ophrys ciliata, Ophrys sphegodes, etc.
L’espace est situé sur la rive gauche de l’Èbre et représente une surface qui s’élève à 642 mètres au-dessus de la vallée sur la partie la plus haute de la Plana. La « muela » (meule) est un relief tabulaire, horizontal, caractérisé par un toit résistant de nature carbonatée (calcaires de l’ère tertiaire), un corps inférieur de coteaux verticaux formés par un substrat plus friable de nature argileuse ou marneux. L’isolement relatif de ces surfaces, étant donné la difficulté d’accès du coteau, favorise sa conservation et son importance comme refuge et retranchement de nombreuses espèces qui ne sont pas présentes au fond de la vallée.
Entremêlés aux zones de meules se trouvent les champs cultivables au bord desquels se développent des zones boisées où les pins d’Alep prédominent, ainsi que des zones de buisson sclérophylle méditerranéen dominé notamment par les espèces suivantes : Juniperus phoenicea, Rosmarinus officinalis, Quercus coccifera. Là où les terres ont souffert du pâturage, on trouve des prairies à forte présence de Brachypodium ramosum.
L’espace est situé sur la rive gauche de l’Èbre et représente une surface qui s’élève à 642 mètres au-dessus de la vallée sur la partie la plus haute de la Plana. La « muela » (meule) est un relief tabulaire, horizontal, caractérisé par un toit résistant de nature carbonatée (calcaires de l’ère tertiaire), un corps inférieur de coteaux verticaux formés par un substrat plus friable de nature argileuse ou marneux. L’isolement relatif de ces surfaces, étant donné la difficulté d’accès du coteau, favorise sa conservation et son importance comme refuge et retranchement de nombreuses espèces qui ne sont pas présentes au fond de la vallée.
Entremêlés aux zones de meules se trouvent les champs cultivables au bord desquels se développent des zones boisées où les pins d’Alep prédominent, ainsi que des zones de buisson sclérophylle méditerranéen dominé notamment par les espèces suivantes : Juniperus phoenicea, Rosmarinus officinalis, Quercus coccifera. Là où les terres ont souffert du pâturage, on trouve des prairies à forte présence de Brachypodium ramosum.
ESPÈCES IMPORTANTES D'AVIFAUNES
ESPÈCES DE FLORE LES PLUS IMPORTANTES
Les zones boisées sont dominées par le Pin d’Alep mais on trouve également dans les sous-bois des Juniperus phoenicea, Rosmarinus officinalis, Quercus coccifera, ainsi que des zones de pâturage avec une forte présence de Brachypodium ramosum.
Dans les steppes et les zones salines on trouve notamment : Lygeum spartium, Gypsophila struthium hispánica, Ononis tridentata, Microcnemum coralloides, Limonium ruizii, Senecio auricula, Thymus loscosii, etc.
En plus des brachypodes, des chênes verts et des pins, parmi les orchidées qu’il y a au bord des chemins et sur les talus, on peut observer : Ophrys lupercalis, Ophrys lutea, Ophrys scolopax, Ophrys ciliata, Ophrys sphegodes, etc.